Trois leçons d’amour que la gauche devrait apprendre du référendum
Selon les prévisions du secrétaire du CGIL, Maurizio Landini, les référendums auraient dû se débrouiller. Et le Bang était là, mais dans la direction opposée par rapport à celle souhaitée par le chef de l’Union. Une participation à environ 30%, accompagnée d’une part importante de «non», dépasse toutes les attentes négatives pour ceux qui avaient promu ou soutenu le référendum et satisfaire à ceux qui espéraient leur échec.
Référendum, 30,6% des électeurs, le quorum n’est pas atteint
Les premières réactions, immédiates après la clôture des sondages, ont présenté les acteurs politiques, chacun à interpréter les résultats selon leurs propres commodités. Landini a évoqué la « crise de la démocratie », mais les chiffres indiquent une réalité beaucoup plus claire.
Ce qui reste du large champ
La lecture du vote est divisée en deux étages distincts. Le premier est de nature générale, concernant le sort du So-appelé « Largo Campo ». Les forces de ce domaine, qui aspirent à représenter une autre majorité à celle de Giorgia Meloni, sont désormais confrontées à un consentement arrêté environ 26 à 27% des personnes autorisées, environ 12 millions d’électeurs. Ces données, similaires au résultat des politiques de 2022, indiquent des difficultés évidentes à mobiliser du consensus en dehors du périmètre déjà connu, confirmant une certaine distance de l’union principale, le CGIL, des humeurs répandues dans le pays.
« 15 millions de personnes, c’est un point de départ qui se renforce, ce n’est pas la seule opinion des 5 millions d’abonnés au CGIL »
Maurizio Landini
Le deuxième niveau d’analyse concerne la situation interne au Parti démocrate. Le choix du secrétaire Elly Schlein pour déplacer le parti à des positions plus radicales, soutenant également le référendum contre les lois approuvées par le DEM, semble affaiblie par le vote. Ce tournant, conforme à la ligne CGIL, risque désormais de rouvrir les tensions avec la minorité réformiste interne et pose des questions importantes sur la future stratégie politique du parti.
Le non à la citoyenneté courte
Enfin, une autre indication pertinente émerge des résultats différenciés entre les questions. Si lors du référendum lié au travail, le «non» est resté stable à environ 12%, 40% des votes contre les citoyens ont enregistré sur le thème des citoyens. Ce chiffre signale clairement que même parmi les électeurs de gauche, il y a une majorité claire en faveur d’une ouverture claire en termes d’immigration et de réception.
Une réalité que la PD et les alliés devront évaluer soigneusement pour récupérer le terrain envers le gouvernement de Meloni, qui parvient évidemment à intercepter les sentiments généralisés dans le pays, malgré les critiques de ses choix politiques.
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