Celui à « morceau »l’appareil utilisé illégalement par plusieurs utilisateurs pour profiter de contenus piratés à des prix avantageux, devient une bataille de plus en plus acharnée pour les autorités. Le journal La République en fait, il a rapporté que La police financière a développé une stratégie visant à attraper ceux qui accèdent illégalement à des contenus tels que des matchs de Serie A, des fictions, des films et des émissions de télévision à un prix négligeable. Dans ce cas, les « flammes jaunes » ont créé l’idée sites d’appâts impossibles à distinguer des vrais portails illégauxdans le but de collecter des données personnelles tels que le prénom, le nom et les informations de carte de crédit, que les utilisateurs peu méfiants fourniront directement aux enquêteurs. Depuis plus d’un an, cette tactique a conduit à l’identification de centaines d’utilisateurs en Italieobligeant beaucoup de personnes à faire face aux conséquences juridiques de leurs actes. Parallèlement, les autorités examinent les activités de géants comme Flare nuageuseaccusé de fournir des outils facilitant les activités illégales. La bataille juridique a déjà produit des effets significatifs, avec des demandes d’identification des utilisateurs ayant utilisé des systèmes tels que VPN Et DNSpour contourner les commandes.
Le « bon phishing » de la Police Financière
Le « pezzotto » n’est pas simplement un appareil : il représente un système organisé qui utilise des technologies avancées pour permettre aux utilisateurs d’accéder illégalement à des contenus payants. C’est pourquoi la Guardia di Finanza a été obligée de mettre en œuvre une stratégie aussi bien organisée pour recueillir des preuves des délits commis par les utilisateurs individuels, comme les données personnelles utilisées pour le paiement, qui constituent à tous égards la base sur laquelle démarrent les enquêtes. Ces sites, qui ressemblent en tous points à des sites piratés, s’inscrivent dans une stratégie que l’on pourrait d’une certaine manière définir comme une sorte de « bon hameçonnage ». Tout comme les cybercriminels utilisent des sites Web qui ressemblent à des boutiques en ligne et à d’autres portails Web fiables pour voler les données d’utilisateurs malheureux, de la même manière les forces de l’ordre utilisent des sites ad hoc pour collecter des données auprès des utilisateurs de contenus piratésclairement à des fins d’enquête.
Les résultats obtenus avec la stratégie décrite ci-dessus ? A en juger par ce que rapporte le journal La Républiqueles résultats sont très bons :
Entre les mains des enquêteurs se trouvent des centaines de noms d’Italiens qui ont tenté de profiter de la Serie A ou des meilleures séries télévisées sans s’abonner à Dazn, Sky, Infinity. Donc illégalement.
L’initiative a été particulièrement appréciée par DAZN et de Ligue de Serie Aqu’ils respectent des pertes annuelles de plus de 300 millions d’euros dues au piratage. Pour endiguer le phénomène, nous visons une ligne plus sévère : des amendes mensuelles pour au moins 10 000 personnes, qui serviraient non seulement à punir mais aussi à dissuader d’autres personnes de recourir au piratage en ligne.
Cloudflare dans l’œil du cyclone
En même temps l’attention des autorités s’est également portée sur les prestataires de services technologiques qui, bien qu’opérant légalement, peut d’une certaine manière faciliter les activités de piraterie. Flare nuageuse en est un bon exemple : l’entreprise, fondée en 2009 à San Francisco, propose des outils tels que VPN Et DNS qui garantissent l’anonymat en ligne et qui sont utilisés rapidement Aussi pour accéder à des contenus illégaux. Selon un récent sentence du tribunal civil de Milanl’entreprise devra cesser de vendre des services aux parties impliquées dans le piratage et révéler les véritables adresses IP des utilisateurs qui ont abusé des services pour accéder à des contenus illégaux, afin qu’ils puissent être identifiés et sanctionnés.