LE réseaux sociaux aujourd’hui, ils peuvent être un endroit formidable échange d’idéespartage de des avis et l’expansion du nôtre réseau de connaissances au-delà des limites spatiales. Cependant, plus souvent que d’habitude, des discussions (souvent commentaires) dégénérer en conversations agressives et violentes, allant de l’attaque au discrédit, de l’offense à la diffamation et à l’humiliation. Mais pourquoi cela arrive-t-il ? L’anonymatainsi que des phénomènes psychologiques tels que désinhibition en ligne et le désindividuation, joue un rôle clé en encourageant les comportements impulsifs et agressifs. Par ailleurs, le absence de conséquences immédiates et l’effet de « bulle de filtre » contribuent à alimenter ce problème.
Être anonyme réduit les inhibitions
L’anonymat sur les réseaux sociaux permet aux utilisateurs de cacher leur véritable identité derrière des pseudonymes ou de faux profils. Cela crée un sentiment de protectionun barrière entre le réel et le virtuel ce qui amène les individus à s’exprimer d’une manière qu’ils n’adopteraient pas dans la vraie vie. En psychologie, ce phénomène est connu sous le nom de «effet de désinhibition en ligne« , décrit pour la première fois par John Suler en 2004, et qui dans le langage courant se traduit par des termes tels que « lions du clavier ».
Selon Suler, l’anonymat peut conduire à une réduction des inhibitions sociales précisément à cause de cette dissociation entre réel et numérique qui annule le sens des responsabilités et la peur de la réaction des autres, favorisant les comportements impulsifs et parfois agressifs.
Comment fonctionne la dynamique des groupes sociaux : théorie de la désindividuation
Une autre motivation concerne le comportement de l’individu au sein d’un groupe ou d’une foule. Quand nous faisons partie d’une masse un effet se produit annulation de l’individualité, ou la perte de son identité qui nous amène à suivre le comportement des masses. Cela conduit à une diminution du sens des responsabilités et de la mise en œuvre des comportements plus extrêmes précisément parce que nous ressentons légitimé de l’anonymat et du troupeau, ce qui en même temps nous fait penser que nous ne subirons aucune sorte de conséquences.
Sur les réseaux sociaux, l’anonymat et la perception d’appartenance à un groupe peuvent favoriser l’émergence de comportements agressifs. Dans ce cas, ce qui pousse au manque de perception de responsabilité, c’est la sentiment d’être indétectable au sein d’un grand groupe, et d’être justifié dans son comportement par le fait que celui-ci apparaît légitime pour le groupe.
L’anonymat en ligne réduit également le risque de conséquences immédiates. Dans la vraie vieun comportement agressif et offensant peut conduire à sanctions socialescomme le désapprobation des autres ou même conséquences juridiques. Sur les réseaux sociauxà la place, le conséquences ils sont souvent minimal ou inexistantencourageant encore davantage les gens à se livrer à des explosions d’agressivité.
L’effet « bulle de filtre »
Un autre facteur qui contribue à l’agression en ligne est l’effet de « bulle de filtre« . Quand on se déplace sur le web et dans les réseaux sociaux, nous laissons une trace de nos intérêts et de ce qui nous intrigue, doctorat en données. Le algorithmes qui décide de ce que nous trouverons dans notre flux donc essayez de nous montrer Contenu ce que je suis conforme à nos avis, pour nous garder le plus longtemps possible à l’intérieur de la plateforme. En effet, lorsque nous trouvons des informations qui confirment nos croyances, des zones profondes du cerveau sont activées, comme le noyau accumbens qui, libérant dopaminenous donne un sentiment de plaisir utile pour renforcer davantage nos idées. Au contraire, informations qui désavouent nos croyances cela nous apporte un sentiment de malaiseà la suite d’un dissonance cognitive. Il va sans dire que le mécanisme interne des médias sociaux tend à renforcer les convictions personnelles et à accroître l’intolérance à l’égard des différentes opinions, ce qui conduit à des discussions plus polarisées et agressif.
Pour atténuer les agressions sur les réseaux sociaux, le modération du contenu c’est essentiel. Les plateformes sociales ont mis en place des politiques de modération pour supprimer les contenus offensants et les comportements agressifs. Cependant, la modération est une opération véritablement complexe, car elle doit mettre en relation les politiques du respect parmi les commentaires avec le liberté d’expression.
Neurosciences et agression en ligne
Des études neuroscientifiques ont mis en évidence queanonymat en ligne peut affecter les circuits neuronaux responsables du contrôle de l’agressivité. Des recherches ont montré que l’anonymat peut moduler l’activité desamygdale, une région profonde du cerveau impliquée dans les émotions et l’agressivité. À la condition anonymatl’amygdale a tendance à être plus actifréduisant le contrôle que l’entreprise exerce normalement sur elle cortex préfrontalresponsable de ajustement des émotions et du comportement social. De plus, la réduction des inhibitions sociales associées à l’anonymat peut conduire à un une plus grande réactivité émotionnelle c’est à comportements impulsifscomme le montrent les études de neuroimagerie fonctionnelle.