Nouveau coup aux centres d’Albanie: la cassation fait référence à l’affaire au tribunal de l’UE

Alexis Tremblay
Alexis Tremblay

Nouveau coup pour le gouvernement de Giorgia Meloni en termes de centres de détention de migrants en Albanie. La cassation estime que le pacte élaboré avec le gouvernement d’Edi Rama n’est pas compatible avec le droit européen et, pour cette raison, il a reporté deux causes à la Cour de justice de l’Union européenne, pour laisser le dernier mot aux juges du Luxembourg.

Les doutes des juges

Les raisons de la décision seront publiées au cours de la journée, mais ont été prévues par IL Manifesto, qui écrit que les reports sont contenus dans deux mesures de photocopie nées des appels du ministère de l’Intérieur contre autant que beaucoup ne valident pas la détention décidée par la Cour d’appel de Rome.

Les juges poseraient deux questions qui concernent les deux cas actuellement possibles dans le centre de Gjader, avec celui de Shengjin l’un des deux déjà construits: celui d’un migrant dans la situation d’irrégularités administratives et celle d’un demandeur d’asile qui a demandé la protection internationale de la RCR (Rester Centers for Repatriations).

Plus facile d’expulser les migrants vers les pays tiers: comment le droit d’asile changera

Pour le premier, le doute est que le transfert d’Italie en Albanie contraste avec la directive de rapatriement. Pour la seconde, une suspicion similaire concerne la directive de réception. En général, le thème est celui de la territorialité: la première section criminelle est revenue à ses pas en prenant une décision précédente dans laquelle elle avait assimilé la RCR GJader à celles trouvées en Italie.

Les ouvertures de l’Europe

La question est également discutée en Europe, avec la Commission qui proposait une directive pour aller en fait dans la direction tracée par l’Italie. En mars, l’exécutif communautaire a proposé d’autoriser la création aux pays tiers de Hub pour envoyer les personnes qui ont reçu un ordre d’expulsion, tant que ces pays sont considérés comme sûrs.

Pour expulser les migrants, l’UE veut créer des centres en dehors de l’Europe

Non seulement cela, ce mois-ci, il a également présenté une proposition visant à modifier le droit d’asile, ce qui facilite les États membres, d’envoyer des candidats à la protection aux pays tiers, de contracter les frais de réception. Les deux réformes, cependant, n’ont pas encore été approuvées par le Parlement et le Conseil de l’UE, et donc les anciennes règles s’appliquent toujours, et sur celles-ci, la demande de clarification des juges italiens, et celles du Luxembourg seront exprimées sur celles-ci.