Si 2022 était l’année de la reprise du tourisme Après la crise pandémique du Covid-19, 2023 doit être considérée comme « l’année du ralentissement »selon un rapport spécial de Gemes de Héctor Flores Santana.
Une phrase très forte qui repose sur le fait qu’après le Le tourisme représente à nouveau 8,5% du produit intérieur brut du Mexique, Alors qu’en 2019 il était de 9%, les informations analysées par Gemes indiquent qu’en 2023 il aura stagné dans des niveaux très similaires à ceux de l’année précédente.
Mauvaises nouvellesaprès la pandémie, le pays semblait avoir pris son envol par la décision de maintenir les frontières ouvertes au tourisme,
En plus que le pays a été garé dans les niveaux que j’avais Avant la pandémie, le vrai problème est que les grands destins accomplis continuer à grandir l’année dernière mais il y en a d’autres qu’ils l’ont fait dans une bien moindre mesure ou qu’ils étaient simplement dans le rouge.
Par exemple, l’aéroport de Cancun a enregistré une augmentation de 6,5% des arrivées de touristes internationaux au cours de l’année, pour clôturer à 20,9 millions; tandis que dans la somme ensemble avec Les nationale était 32,7 millions avec une augmentation de 7,9%selon les chiffres d’Asur.
Tandis que les passagers les arrivées internationales à Los Cabos ont atteint 4,7 millions, soit une augmentation de 6,9% par rapport à l’année précédente et à Puerto Vallarta, ils ont atteint 3,9 millions avec 10,6% ci-dessus, dans ces deux derniers cas, les chiffres proviennent du Grupo Aeroportuario del Pacífico (GAP).
Les problèmes On les trouve dans des destinations comme Huatulco où l’arrivée de passagers a atteint le chiffre de 914 mille, soit 5,8% de moins par rapport à 2022.
Une destination qui souffrira davantage si le président López Obrador maintient son idée de restituer l’unique terrain de golf un espace naturel protégé, au lieu de lancer un appel d’offres international pour continuer à l’exploiter.
Et il y en a bien d’autres qui continuent d’enregistrer moins d’un million de passagers par an, c’est-à-dire Ils représentent moins de 2% du total des passagers Acapulco que j’ai apporté 862 mille passagers jusqu’en novembre, avec une hausse de 14,5% mais avec une baisse de près de 6% dans les marchés internationaux qui ont ajouté seulement 54 mille 845.
Ces grandes différences Ils détruisent le discours officiel selon lequel, sous cette administration, les bénéfices du tourisme ont été démocratisés dans tout le pays.
Certains des facteurs qui contribuent à quoi la taille de l’activité touristique stagne à 8,5% du PIB et les bénéfices sont concentrés dans un petit nombre de destinations ils sont:
Manque de ressources et de stratégies efficaces de promotion des destinations touristiques plus petites ; insécurité physique et juridique dans les destinationscomme Zacatecas ou Colima ; manque de stratégies dans de nombreuses destinations pour encourager et donner de la certitude aux investissements ce qui va s’aggraver avec la fermeture de Fonatur.
L’avenir du tourisme au Mexique doit au moinsjeêtre un sujet à discuter lors des campagnes présidentielles de cette année, pour examiner les options qui existent et avec l’idée de marcher à ce qui était dans le passé mais à relancer des destinations moins réussies.
Jusqu’à maintenant, l’année du ralentissement peut être s’étendre sur une période de temps beaucoup plus longue.