Bientôt WhatsApp permettra aux utilisateurs de interagir avec d'autres applications de messagerie instantanéeprofitant de ce qu'on appelle interopérabilité. C'est elle qui a fait passer la nouvelle WABetaInfo qui a trouvé des traces d'un nouvel écran présent dans la version bêta de l'application. À l'heure actuelle la fonctionnalité n'est pas disponible dans la version stable de WhatsAppmais il sera mis en œuvre d'ici le mois de mars.
Ce changement d’époque est dû à Loi sur les marchés numériques (DMA)fortement soutenu par l'Union européenne pour protéger les consommateurs et les entreprises des soi-disant « big tech », telles que Moitié (la société propriétaire de WhatsApp et Facebook), Alphabet (la société holding qui comprend également Google), e PommeJuste pour en nommer quelques-uns.
Une fois que la fonctionnalité d’interopérabilité sera disponible pour tous qu’est-ce qui va réellement changer pour les utilisateurs ? Dans l'application, il y aura un nouvel écran à partir duquel vous pourrez activer et désactiver la fonction qui permet cela échanger des messages avec des applications tierces. C’est donc l’utilisateur lui-même qui décidera en fin de compte d’activer ou non la fonction en question.
Dans le cas où vous optez pour l'activation de l'interopérabilité, comme déjà mentionné précédemment, il sera également possible d'échanger des messages avec des personnes qui utilisent d'autres applications de messagerie sans nécessairement avoir à « switcher » depuis cette dernière.
Cependant, dans l'écran d'activation de la fonction (ci-joint), WhatsApp tient à souligner que la nouveauté, bien qu'elle puisse être pratique dans certaines situations, il n'est pas exempt de risques en matière de sécurité et de confidentialité et pour diverses raisons. Ceux-ci incluent le fait que les applications tierces peuvent utiliser des systèmes de cryptage de bout en bout autres que WhatsApp, la sécurité du chat n'est donc pas garantie. En outre, selon WhatsApp, un autre problème concerne les différentes politiques des applications tierces, qui pourraient constituer (au moins potentiellement) un danger pour la vie privée des utilisateurs eux-mêmes.