À quoi ressemble l’intérieur d’une boule de bowling et pourquoi n’est-ce pas simplement une sphère ?

Alexis Tremblay
Alexis Tremblay

Le boules de bowling ils sont fabriqués avec des résines synthétiques ou de l’uréthane ; ils peuvent avoir un diamètre maximum de 21,8 centimètres et une masse maximale de 7,26 kg. Malgré ce qu’on pourrait penser, ce ne sont pas des dieux sphères simples avec trois trous pour les doigts: à l’intérieur d’eux il y a non seulement des couches de matériaux différents mais aussi poids de différentes formes Pour optimiser les lancements et les effets de trajectoire, notamment dans le monde compétitif. Pour mieux comprendre comment ces objets sont fabriqués, analysons couche par couche comment on est fabriqué. ballon professionnel.

Noyau

La partie la plus importante d’une boule de bowling est son noyau: c’est un poids placé dans sa partie la plus intérieure qui est habituellement fabriqué en fer ou oxydes de calcium. Ces poids peuvent avoir différentes formes, selon de l’effet que l’on veut communiquer au ballon lors du lancer : il y a donc les deux noyaux symétrique Que asymétriquedont chacun est capable de donner un effet particulier au ballon. Les champions sont capables d’exploiter la forme des noyaux à leur avantage, réalisant des lancers avec des trajectoires qui, vues ainsi, semblent apparemment impossibles !

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Remplissage

Le noyau est entouré d’un matériau de remplissage plutôt léger dont l’objectif est assurer la conformité entre le noyau et la coque extérieure et permettant également à la balle de conserver sa forme à chaque lancement. Ce matériau est choisi en fonction du poids final que vous souhaitez donner au ballon et cela va de liège (maintenant plus utilisé) un mousses de polyuréthane Et matrices de résine avec microbulles vitreuses.

Revêtement extérieur

Le couche la plus externe c’est celui qui entre réellement en contact avec le piste du bowling et c’est donc ce qui détermine le capacité à attraper le ballon et son réaction avec l’huile de chenille. Il existe par exemple des revêtements en plastique et dans l’uréthane, dont chacun permet de rendre les mouvements du ballon plus ou moins prévisibles.

À cela s’ajoute un deuxième facteur lié à finir le bal: les surfaces plus rugueux augmenter la friction, tandis que ceux plus lisse Ils ont réduit la friction, permettant à la balle de glisser sur un tronçon de voie plus long. Encore une fois, le choix d’un type plutôt que d’un autre dépend non seulement des caractéristiques de la piste mais aussi du style du joueur, qui peut personnaliser sa balle dans tous ses aspects.

Le dernier aspect à considérer est la réalisation des trous pour les doigts. Dans le cas des ballons professionnels, le longueur et le distance parmi ceux-ci, il est précisément calibré à la taille de la main de l’athlète. Mais pas seulement ! Creuser trois trous pourrait déséquilibrer la balle, il faut donc en amont calculer quelle masse sera enlevée dans cette phase, de manière à calibrer le noyau interne en conséquence.