The Young Adult « Normal People » series, adaptation of the homonymous bestsellers of Sally Rooney from 1 million copies, will be available again in Italy in RaiPlay from 11 April, directed by Lenny Abrahamson and Hettie Macdonald, which boasts a nomination to Emmy and the victory at the Boveri Bafta, with Paul Mescal, protagonist of « The Gladiator 2″ 2 » (2024), directed and Coproduit par Ridley Scott et Daisy Edgar-Jones, protagoniste de « On Swift Horses » de Daniel Minahan aux côtés de Jacob Elordi, pas encore sorti dans les cinémas de l’Italie.
Structuré en 12 épisodes pendant environ 20 à 30 minutes, la série dramatique réussie de la BBC est un voyage dans le monde des milléniaux, une maturité de l’adolescence à l’âge adulte de deux garçons irlandais, aux prises avec les tourments, les inquiétudes et l’élan de leur âge. Il raconte l’histoire d’amour entre Connel et Marianne dans l’Irlande contemporaine, qui est la toile de fond des événements. Dans une école d’une ville de l’ouest de l’Irlande, Connell (Paul Mescal) est une joueuse de football très populaire, magnifique et athlétique tandis que Marianne (Daisy Edgar-Jones) est une fille solitaire qui essaie d’éviter ses camarades de classe et défie souvent l’autorité de ses professeurs. Entre les deux, l’étincelle prend quand un jour Connell va chercher sa mère Lorraine qui travaille dans la maison de Marianne. Les deux garçons établissent une relation particulière et durable qui sont disposées à se cacher des autres. La série explore l’évolution de cette histoire d’amour particulière et intense à partir du moment où les deux jeunes protagonistes vivent le début de leur relation jusqu’à ce qu’ils se déplacent au collège à Dublin, loin des yeux et du climat de leur ville natale.
Dans le casting: Daisy Edgar-Jones, Paul Mescal, Sarah Greene, Aislín McGuckin, Éanna Hardwicke, Frank Blake, Eliot Salt, India Mullen, Desmond Eastwood, Sebastian de Souza. Avec le scénario de Sally Rooney, Alice Birch, Mark O’Rowe. Réalisé par Lenny Abrahamson et Hettie MacDonald.
L’ensemble du battage médiatique du nouveau livre de Sally Rooney n’est pas vraiment justifié