La politique migratoire de l’Union européenne vise à mettre en œuvre « un échange organisé de populations pour remplacer les fondations culturelles » du continent. C’est la fente du Premier ministre hongrois Viktor Orban, lancé dans un discours énergique du « VICTORY Festival » organisé dans la région de Loret en France, à l’invitation du ressortissant des rumeurs, et à laquelle les parties du groupe des Patriots pour l’Europe ont participé.
Fière de sa capacité à « rejeter les migrants » dans son pays, même au prix de subir des pénalités de Bruxelles, Orban a proclamé plusieurs milliers de militants des formations de la droite radicale de l’UE: « nous ne permettons pas qu’ils détruisent nos villes, ce qui a étonné nos filles et femmes, qui tuent des citoyens paisibles ».
Le « mouton noir »
Dans ce discours, prononcé en hongrois et traduit en direct en français pour des militants présents à Murman-Surisson, le Premier ministre hongrois a ciblé l’UE, jouant son rôle de « mouton noir de l’Union européenne », le « cauchemar de Bruxelles ». Il a exhorté Marine Le Pen et Jordan Bardella Rassembment National à s’affirmer lors des prochaines élections françaises: « Sans vous, nous ne pourrons pas occuper Bruxelles » et « nous ne pourrons pas sauver la Hongrie du ghillotine de Bruxelles », a déclaré Orban.
🇭🇺 @Pm_viktororban Premier Ministre Hongrois et Président du Fidesz est sur la scène de la #Fetedelavictoire
«Nous les Devons payants 1 million d’euros par jour à Bruxelles, parce que la sur le laiscère de Laisc pic.twitter.com/zsz1jjmitn
– Patriots.eu (@patriotseu) 9 juin 2025
L’axe de souveraineté européen
Sur scène, en plus du leader Magyar, également celui de la ligue, Matteo Salvini, le chef du Parti espagnol Vox, Santiago Abascal, et les chefs des autres partis qui adhèrent au groupe: le tchèque Andrej Babis, le Greek Afroditi Latinopoulou, la Van Greek de l’Eston Martin et le Bégien de l’Eston. Le chef des Néerlandais à l’extrême droite Geert Wilders a envoyé un message vidéo enregistré.
Sur la même ligne qu’Orban, Salvini a insisté sur la « menace » qui profite à l’Europe: « La menace pour nos enfants est une invasion d’immigrants illégaux, en particulier islamique, financé et organisé dans le silence de Bruxelles », a-t-il déclaré par la scène, invitant les « patriotes européens » à « travailler ensemble » « pour » reprendre le sort et l’avenir de l’Europe « . Abascal, pour sa part, a demandé que l’Europe « revient à être souverain pour décider de quiconque entre dans notre territoire, souverain dans les familles européennes qui les accompagnent, et non en les remplaçant ».
Le festival de la victoire
L’événement a été renommé « La Fête de la Victoire », en l’honneur de la victoire obtenue par le Rassembement National le 9 juin 2024, il y a un an, lorsque sa liste s’est imposée aux élections européennes, obtenant 31,37% des votes – à l’époque le meilleur résultat au premier tour de l’histoire de la partie lointaine.