Comment fonctionnent les bateaux duCoupe de l’America à « voler » sur l’eau ? Cela peut paraître incroyable, mais ces bateaux long 21 mètres, 5 de largelourd 6,9 tonnes (équipage compris), parviennent à s’élever à plus d’un mètre de la mer et à atteindre des vitesses impressionnantes, jusqu’à 100 km/hen utilisant uniquement le vent. Le secret de cette « magie », ce sont les foils, des ailes technologiques avancées qui permettent au bateau de s’élever et de minimiser la résistance.
Les foils sont les « ailes » de l’AC75, qui lui permettent de voler sur l’eau
Les foils sont des appendices mobiles positionnés sur les côtés du bateau, qui entrent et sortent de l’eau via un système hydraulique. Ils en ont un Forme en Tavec une structure qui se connecte au bateau et une véritable aile qui crée le ascenseur, le même principe qui permet avions voler. Immergé dans l’eau, le film génère un différence de pression entre le haut et le bas, poussant le bateau vers le haut. La densité de l’eau, bien supérieure à celle de l’air, lui permet de générer une grande force même sur de petites surfaces.

La portance créée par le foil peut être ajustée en changeant sonangle d’incidence à travers des rabats, semblables à ceux trouvés sur les ailes des avions. Cependant, pour commencer à « voler », le bateau doit atteindre une vitesse minimale de 18 nœudsune sorte de vitesse de décollage.
La double voile et les foils qui remplacent la dérive
Passant aux voiles, elles fonctionnent également comme les ailes d’un avion, mais verticalement. Lorsque le bateau a un vent favorable, la voile utilise la portance pour le pousser. Les bateaux AC75, comme Luna Rossa, en ont en effet un naviguer ce qui, vu d’en haut, est une aile Presque parfait: est composé de deux voiles jumelles, qui reproduisent parfaitement la chute d’un profil d’aile et qui sont constitués de filaments de carbone, donc supprimer presque complètement n’importe quel type de la résistance, pour que le vent puisse agir à son potentiel maximum.

Un voilier traditionnel utilise un dérives pour le contrecarrer dérapage, c’est-à-dire la tendance à s’écarter du cap en raison de la pression du vent. Dans l’AC75, cependant, ce rôle est joué par le déjouer qui, en plus d’être fondamentaux pour l’équilibre du bateau, le soulèvent, éliminent la résistance provoquée par les vagues et permettent au bateau d’atteindre des vitesses allant jusqu’à 53 nœuds (presque 100 km/h). Ceci est rendu possible par la combinaison de ascenseur et stabilité offerte par les foils et le safran en T. Le jeu de portance créé par les foils et la voile double carbone permet à ce type de bateau d’atteindre. vitesse impressionnant, même trois fois supérieure à celle du vent réel.
Le rôle de l’équipage dans les AC75 comme Luna Rossa
L’équipage de l’AC75 est réduit et caché dans des puits pour minimiser la résistance aérodynamique. Chaque bateau a deux timoniers Et deux tondeuses, responsable du réglage des foils et des voiles, ainsi que quatre « cyclors ». Ces derniers sont comme cyclistes qui pédale pour générer de l’énergie grâce à une pompe hydraulique, alimentant les systèmes nécessaires à augmenter Et inférieur le déjouer, ainsi que pour régulier le voiles. L’utilisation de l’énergie mécanique, combinée à un système complexe de câbles et d’unités de commande, fait de ces bateaux des chefs-d’œuvre de mécatronique.

Tout à bord est étudié dans les moindres détails, depuisaérodynamique au rangement de composants électroniques pour les protéger du contact avec l’eau. Cette approche, associée à l’ajustement continu des voiles et des foils par l’équipage, est fondamentale pour maintenir l’équilibre et l’efficacité de ces navires extraordinaires.
En résumé, les bateaux de l’America’s Cup sont réels merveilles technologiques, capables d’exploiter des forces complexes pour atteindre des vitesses extraordinaires, rendant leur « vol » presque magique.